TUMPEK UDUH ,CEREMONIE POUR LE NATURE
Tumpek Uduh : une cérémonie hindoue balinaise traditionnelle en l'honneur des plantes
L'hindouisme à Bali a de nombreuses cérémonies religieuses organisées tout au long de l'année, non seulement des cérémonies et des « yadnya » (offrandes sacrées) honorant Dieu, mais aussi aux saints enseignants, à l'humanité, aux animaux et aux plantes.
La cérémonie spéciale pour honorer les plantes est connue sous le nom de Tumpek Uduh, un rituel qui tombe sur Saniscara Kliwon Wariga, un jour où Dieu a donné la grâce à l'humanité dans le monde.
Tumpek Uduh, également connu sous le nom de Tumpek Wariga, Tumpek Bubuh ou Tumpek Pengatag, est célébré tous les 6 mois le Saniscara (samedi) Kliwon, Wuku Wariga, exactement 25 jours avant le jour de Galungan.
La raison pour laquelle on l'appelle aussi Tumpek Bubuh est que ce jour-là, les Balinais servent du 'bubur sumsum' (farine de riz avec bouillie de lait de coco) à base de farine, alors qu'il s'appelle aussi Tumpek Pengatag car le culte cérémonial des plantes s'accompagne de la procession 'ngatag', 'menggetuk-getuk' ou tapotement des tiges des plantes qui sont cérémonieusement bénies.
Le culte de Tumpek Uduh est une offrande à la manifestation de Dieu en tant que Dewa Sangkara (Sanghyang Sangkara), le Dieu des plantes.
Cette occasion capitale rappelle aux humains l'importance des plantes et de la nature dans un spectre plus large afin qu'elles deviennent harmonieuses dans nos vies.
Tumpek Uduh est une manifestation de la philosophie hindoue balinaise du Tri Hita Karana, les trois causes du bien-être, à savoir l'harmonie avec Dieu, l'harmonie entre les gens et l'harmonie avec la nature et l'environnement, c'est pourquoi le jour du Tumpuk Uduh, les hindous balinais ne sont pas autorisés à abattre des arbres, même de leur propre chef, et s'abstiennent de cueillir des fruits, des fleurs et des feuilles.
Le but principal du rituel Tumpek Uduh est de fournir une réflexion personnelle à la communauté afin que l'environnement naturel soit préservé car nous, les humains, ne pouvons pas vivre sans lui.
C'est un fait connu que l'univers détient de nombreux pouvoirs cachés qui peuvent être utilisés pour nos besoins fondamentaux, tels que les atouts des arbres tropicaux et des nombreuses plantes qui nous entourent.
Lorsque cela est utilisé de manière appropriée, cela aura un impact positif sur nos vies et rendra nos vies plus prospères.
Cependant, lorsque nous l'utilisons de manière inappropriée, cela s'avérera préjudiciable et nuira à nos vies.
Des plantes bien conservées et le maintien de leur existence correctement auront des impacts positifs sur l'humanité qui affectent non seulement l'environnement environnant mais aussi d'un point de vue économique.
Nous pouvons tous voir des touristes affluer vers des destinations naturelles bien entretenues et découvrir leur beauté étonnante, notamment Tegalalang et Jatiluwih, qui sont des attractions touristiques qui contribuent à maintenir les revenus économiques de ses résidents locaux.
De plus, les gens doivent toujours se rappeler de rester reconnaissants pour les bienfaits de la nature, c'est pourquoi les hindous balinais font des offrandes et montrent de la gratitude envers les plantes le jour de Tumpek Unduh et se souviennent de l'importance des plantes qui nous entourent et sont obligés d'en prendre soin correctement. afin que la nature ne soit pas endommagée et ne provoque pas de catastrophe.
Si nous regardons à quel point la nature est incroyable et comment elle a été parfaitement créée par le Tout-Puissant pour répondre à divers types de besoins humains fondamentaux, il nous appartient d'explorer et de découvrir l'abondance de ressources qui se trouve juste devant nos yeux et de la transformer en biens utiles.
Lorsque nous sommes malades, il existe de nombreuses formes de plantes aux propriétés médicinales qui peuvent être utilisées comme phytothérapie.
Si vous êtes un touriste en tournée vers les destinations agro-touristiques ou les rizières de Bali, vous verrez que de nombreux agriculteurs organisent des processions de « yadnya » (offrandes sacrées).
Les humains sont en effet dépendants de l'univers, c'est pourquoi les hindous balinais apprécient et respectent hautement l'univers et tout ce qu'il offre.
Par conséquent, dans les croyances religieuses des hindous, commémorer Tumpek Uduh est un hommage à l'univers, qui a fourni de la nourriture pour la consommation humaine.
La signification et l'essence les plus importantes de la célébration de Tumpek Uduh est une profonde gratitude pour l'abondante richesse naturelle.
Tous les cultes et louanges chantés par les prêtres, «pemangku» ou chefs de cérémonie sont pleins de l'essence de la gratitude envers la nature.
Brian Sjarief
https://www.nowbali.co.id/tumpek-uduh-balinese-hindu-ceremony-honouring-plants/
Les étapes de ceremonies avant Le Grand cérémonie de Galungan et Kuningan
Les fêtes semestrielles de GALUNGAN et KUNINGAN approchent a Bali. C’est une « période sainte » qui commence 6 jours(jeudi) avant Galungan avec les cérémonies de SUGIHAN JAWA et lendemain SUGIHAN BALI, Mardi , ce sera PANAMPAHAN GALUNGAN, mercredi , GALUNGAN, et Jeudi , MANIS GALUNGAN. Cette période où les Dieux descendent sur terre durera jusqu’au samedi (10 jours apres Galungan), la fête de KUNINGAN.
La fête de GALUNGAN tombe en fait le mercredi de la douzième semaine du calendrier rituel balinais. Ce jour est destiné à célébrer la victoire de la Foi, et à remercier les divinités pour les bienfaits accordes à l’humanité.
.
SUGIHAN vient du mot « Sugi» qui veut dire laver, purifier. Certains Balinais font des offrandes le premier jour, d’autres le deuxième par tradition familiale. Pourquoi mentionne-t-on Java et Bali ??? Certains disent que les Balinais dont les ancêtres sont venus du royaume javanais de Mojopahit au XVIe siècle, souvent les gens de caste, célèbrent SUGIHAN JAWA, tandis que les Balinais de souche célèbrent SUGIHAN BALI. Mais cela semble inexact. Ma famille balinaise, descendante du clan autochtone PASEK, par exemple, fait des offrandes aujourd’hui pour SUGIHAN JAWA. Dautres disent que les Balinais d’origine honorent ainsi le souvenir des anciens arrivants…? et inversement.
Ici semblerait-il, JAWA = JABA, qui veut dire « extérieur, dehors » et non une reference a l’ile de Java... Cela signifierait donc qu’on purifie l’environnement autour de nous, la Nature, mais aussi les temples et les objets de culte.
LES GRANDES FESTIVÉS DE
GALUNGAN ET KUNINGAN
Galungan est une fête commémorative de la
victoire du bien sûr le mal. Le rôle du bien est tenu par le dieu Indra et
celui du mal par le roi mythique de Bali,
Mayadénawa. Selon la légende, le roi Mayadénawa, qui tenait Bali
sous sa coupe, était un horrible athée. Il avait interdit d’honorer les dieux
et les ancêtres. Les Balinais étaient révulsés par cette interdiction, mais ils
ne pouvaient rien faire, parce que Mayadénawa était presque immortel . Il était
également d’une grande cruauté. Personne ne s’aventurait donc à le contrarier
…..
Pour débarrasser la population de cette calamité, le dieu
Indra se résolute alors à descendre du paradis avec ses soldat pour attaquer
Mayadénawa. La guerre dura quelques jours, jusqu’à ce que le dieu Indra parvienne à occire Mayadénawa. Heureux de cette défaite et de cette mort, les Balinaise furent à nouveau
libres d’adorer les dieux et d’honorer les ancêtres , bref, de praqtiquer leur
religion hindoue.
Selon le calendrier balinais wuku, Galungan se commémore tous les deux cent dix jours, chaque buda kliwon dungulan, le mercredi de la
onzième semaine. Galungan est un jour faste. Les dieux
ainsi que les ancêtre descendent du paradis pour assister à la fête sur I’île
et prendre place dans les temples villageois comme les temples familiaux sont décorés avec des tentures
, des parasols, des drapeaux, et bien sûr des offrandes.
Les bords des routes et des chemins sont décorés de long et
hauts bambous , que l’on appelle penyor.
Ils sont plantés verticalement devant l’entrée de chaque habitation . Balinais
et Balinaises sont en habits de fête et se redent aux divers temples pour y
apporter des offrandes et s’y
recueillir.
Dix jours après Galungan,
c’est Kuningan , nom du dernier jour
de la présence des dieux et des ancêtres
sur l’île . Là encore , de nombreuses
offrandes sont prévues. À côté de chaque penyor est construit un petite autel, et les visiteurs étrangers
demandent souvent ce que cela signifie.
Le penyor est une ornamentation cultuelle.
Long bambou dont l’extrémité est naturellement
recourbée, décoré avec quelques fruits, des tubercules, du riz et suspendue
à son extremité, un tressage en feuilles de cocotier qui s’appelle sampian, complété par une offrande. Le penyor est un umblème du volcan Agung.
Il est également consideré comme un symbole de fertilité. Enfin, le petit autel
qui lui est associé, représente le temple de Besakih.
SILENCE ! ON NE
TOURNE PAS : NYEPI
Nyepi est le jour de l’an balinais. Ce jour ferie, de création relativement
récente, n’appartient pas au cycle du pawukon.
Il est fixé par le calendrier hindou, dont la durée est presque la même que celle du calendrier grégorien
. La veille de Nyepi est donc le
dernier jour de l’année précédente. Avant la tombée de la nuit, on assiste à
une grande procession . Les jeunes filles et les enfants sont en tête et
tiennent des flambeaux . Viennent ensuite les jeunes garçons qui portent sur
leurs épaules des mannequins représentant chacun un démon, le plus laid et
terrifiant qui se puisse imaginer . L’orchestre ambulant vient en dernier. C’est
un rites d’exorcisme. La procession fait le tour du village afin d’en chasser
les mauvais esprits pour que , le
lendemain , ils ne se manifestent surtout pas. Ce lendemain , Nyepi, ainsi que son nom l’indique , est
un jour consacré au silence, au jeûne et à la meditation , et cela , depuis le
lever du soleil jusqu’au lendemain matin.
Tous
ceux qui sont sur l’île doivent y observer quatre interdits :
1. Mati geni ( ne pas allumer de feu , ne pas allumer l’électricité
ni même provoquer la moindre étincelle )
2. Mati karya ( s’abstenir de toute activité)
3. Mati lelungan ( s’abstenir de tout trajet )
4. Mati
lelanguan ( s’abstenir de tout désir
)
Le
jour de Nyepi est le seul jour de
l’année oû les enfants , non loin de chez eux, occupant les rues et désertes.
Le lendemain de Nyepi s’appelle Ngembak Geni , cela veut dire qu’on
rompt le jeune , que l’on peut reprendre les activites de la vie quotidienne .
Il y a soixante dix-huit ans de decalage entre le calendrier hindou çaka et le calendrier grégorien. L’année
2012 correspond donc à l’année 1933 du calendrier çaka
, ce dernier ayant été institute soixante dix-huit ans après le calendrier grégorien.
L’ordre
des mois l’année du calendrier çaka
est le suivant :
Kadasa ( dixième ) , Jayésta
( onzième ) , Sada ( douzième ) , Kasa ( premier ) , Karo ( deuxième ) Ketiga
( troisième ) , Kapat ( quatrième ) ,
Kalima ( cinquième ) , Kaenem ( sixième ) , Kapitu ( septième ) , Kaulu ( huitième ) , Kasanga ( neuvième ).
Ce
systèm ne semble pas logique car on commence l’année au deuxième mois à Bali . Mais comparez ce calendrier avec le grégorien !
Dans ce dernier , l’année commençait en mars et se terminait en février ,
actualement elle commence en janvier et se termine en décembre . En réalité , décembre
est construit sur le radical « dix » et veut dire le dixième mois . Remarquez
le nom des mois précédents ! Novembre vient du mot « neuf » ( neuvième mois ),
octobre « d’octave » ( huitième mois ) , septembre de « sept » (septième mois )
……
ORGANISATION DE LA «
MAISON » BALINAISE
L’habitation balinaise traditionnelle est construite sur un
terrain relativement spacieux, entouré de murs. Souvent, en retait, juste
derriere l’entrée, un muret empêche d’apercevoir ce qui se passe à l’entérieur de
la cour.
À l’entérieur de
celle-ci, quatre pavillons principaux sont construits aux points cardinaux. Le
pavillon de l’ouest s’appelle bale dauh
. Il sert uniquement de chambre à coucher. Il peut être ouvert ou fermé . En
face, c’est donc le pavillon de l’est , balé
dangin , également nommé balé adat .
Celui-ci doit être ouvert , car c’est là que l’on procède aux rites de passage,
anniversaire, limage de dents, marriage et autres. En dehors de périodes de cérémonie
, Il est possible d’y dormir.
Le pavillon le plus important est celui qui se trouve dans la
direction des volcans. Il s’appelle balé daja
. On y garde les objets précieux. Enfin, le quatrième pavillon est la cuisine ,
paon. À côté de la cuisine se trouve
le grenier à riz , construit en hauter sur des piliers de bois.
Pour une grande famille, les quatre pavillons ne suffisent
pas. Il est tout à fait possible de construire des pavillon supplémentaires,
lesquels ne font alors pas partie de cette organisation.
L’habitation balinaise se compose en fait de trois parties.
Il y a d’abord le domaine du sacré, qui
se trouve du côté du volcan et de l’est. C’est l’emplacement du temple
familial. La deuxième partie est cell de la vie profane et ordinaire
des activités quotidiennes.
La troisième est censèe être impure . Elle est du côté de
l’ouest. C’est là qu’on on élève le cochon et se trouvent les toilettes.
Une « maison » est
généralement habitée par trois ou
quatre générations, le père, chef de la famille, avec sa femme, ses enfant, ses
parents, ses soeurs et ses frères encore célibataires ainsi que ses
grand-parents .
BANJAR (LE VILLAGE COUTUMIÈRE)
Le deroulement de la communauté traditionnelle balinaise s'appuie aux systèmes sociaux très complexes qui attachent ses membres dans le principe de la solidarité très remarquable.
Un village coutumier ou Desa Adat en balinais est une entité autonome possedant ses propres reglements ou Awig-awig qui concernent aux membres de la communauté. Il peut être different d'un village à l'autre, plus ou moins sevère.
Un Desa Adat abrite souvent entre 300 à 500 familles, dirigé par un maire Bendesa Adat, qui doit prendre en charge pour organiser tous les évenements culturels dans le village; les cérémonies dans les temples, cremations, mariages ou meme regler les problèmes qui peuvent y arriver. Devenir un maire du village coutumier veut dire aussi que la personne doit être prêt de consacrer une bonne partie de son temps aux activités coutumières. Et sans rigoler, entre les cérémonies annuelles des temples et les fêtes hindouistes, ça ne laisse plus beaucoup de temps libre pour un maire. Neanmoins, cette responsabilité ne lui donne pas droit à la remuneration.
Cependant, personne ne peut empecher l'intrusion de la modernisation. Le changement est indispensable dans la vie.
Comme les peuples dans l'autre bout du monde, Bali fait partie du developpement de la technologie, nous nous deplaçons comme les autres... nous sommes obligés de nous adapter afin de survivre toujours.
Alors, on commence à modifier les reglements de la communauté pour pouvoir répondre aux besoins de la vie plus moderne. Les membres du village coutumier était concentrés dans la meme region parce que l'on était presque tous paysans. Maintenant l'education a tant changé la façon de vivre des gens. Au depart on est parti du village pour continuer l'école dans la ville voire dans les autres îles. Et une fois le diplôme obtenu, ce n'est plus la peine de retourner vivre au village car on n'aura pas vraiment l'occasion d'y appliquer ce qu'on a appris.
Certes, on continue à vivre ailleurs mais sans perdre l'appartenance à la communauté du village natal. Voila, c'est une partie des modifications qui marche beaucoup recemment vis-à-vis les changements de mode de vie. L'absence d'un membre à cause de la distance peut se remplacer avec l'argent. De toute façon les cérémonies coûtent toujours aux membres de la communauté. Mais la moindre presence dans une fête compte toujours pour garder le lien avec le village natal. Si nous ne sommes pas trop éloigné, on essaie normalement de s'arranger pour pouvoir participer un peu les rites. Ces evenements sont aussi l'occasion pour les parents de faire connaître leur village natal aux enfants qui sont nés dans la ville et de leur faire comprendre petit à petit notre appartenance à la communauté au village.
Ce phenomène de deplacement est de plus en plus frequent ces dernières années. Il y a de moins en moins de jeunes dans les villages, faute d'occasion, et en revanche les villes sont très peuplées. Donc la formule de modification du Desa Adat est obligé de s'adapter pourque tout puisse marcher ensemble.

LE SUBAK; le système d'irrigation balinais
Les rizières verdoyantes de Bali n'offrent pas seulement un paysage pittoresque, mais revêtent également une profonde signification culturelle dans le patrimoine de l'île, illustrée par le système agricole traditionnel connu sous le nom de Subak. Ces rizières en terrasses, qui tombent souvent en cascade sur le terrain vallonné de Bali, témoignent de la relation harmonieuse entre la nature et le peuple balinais.
Le Subak n'est pas seulement une méthode agricole, c'est un mode de vie pratiqué depuis plus de mille ans. Il repose sur le principe du "Tri Hita Karana", qui se traduit par "trois causes de bien-être" : l'harmonie avec Dieu, l'harmonie avec les autres humains et l'harmonie avec la nature. Cette philosophie guide tous les aspects de Subak et de la culture balinaise.
L'un des aspects remarquables de Subak est son système d'irrigation coopératif. Les champs sont gérés collectivement par les agriculteurs locaux, qui travaillent ensemble pour assurer une distribution équitable et efficace de l'eau. Ce système reflète les valeurs balinaises de responsabilité collective et d'harmonie avec la nature. Les temples de l'eau, qui font partie intégrante de Subak, jouent un rôle essentiel dans la gestion de l'eau et les cérémonies de bénédiction des divinités.
À Bali, la culture du riz n'est pas seulement une question de subsistance ; elle fait partie intégrante des rituels et des cérémonies religieuses. Des offrandes sont faites aux dieux avant la plantation et le riz joue un rôle central dans diverses célébrations religieuses. La cérémonie annuelle du "Subak Abian", par exemple, célèbre l'harmonie entre l'homme et l'environnement, renforçant ainsi l'importance du Subak dans la culture balinaise.
La visite des rizières de Bali offre un aperçu de ce riche patrimoine culturel. Les voyageurs peuvent observer le système d'irrigation complexe, s'émerveiller de la beauté tranquille des rizières en terrasses et se faire une idée de la spiritualité profondément enracinée qui imprègne la vie des Balinais. C’est un rappel qu'à Bali, la relation entre l'homme et la nature n'est pas une relation de domination mais de partenariat, et c'est une harmonie qui a permis à l'île de survivre pendant des siècles.